Ariane Aggiage
Doublage
Voix
Billboard
L'amour est dans le pré
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American Express
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Citroën
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Clear Blue
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D'aucy (Télé & radio)
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Meetic
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Oscaro (Cruz Ramirez)
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Pelforth
Formation
Conservatoire du Xème à Paris, avec Jean-Pierre Martino, Michel Garay et Jean-Louis Bihoreau
Stage Andréas Voutsinas à l'espace La Comédia
Stage Dire le français dirigé par Philippe Ferran
Stage L'Attention dirigé par Leonid Kheïfetz (Théâtre russe)
Stage Interprétation, dirigé par Philippe Adrien, à la Cartoucherie de Vincennes
Stage Andréas Voutsinas à l'espace La Comédia
Stage Dire le français dirigé par Philippe Ferran
Stage L'Attention dirigé par Leonid Kheïfetz (Théâtre russe)
Stage Interprétation, dirigé par Philippe Adrien, à la Cartoucherie de Vincennes
Cinéma
"Fixion" réalisé par Fouad Benhammou, dans le rôle principal Hix
Courts métrages
"The Bague" écrit et réalisé par Sarah-Laure Estragnat
"Réminiscence" réalisé par Ariane Aggiage
"La pause" réalisé par Laurent Tirard, dans le cadre des Talents Cannes ADAMI 2005. Film projeté au Festival de Cannes 2005
"Rupture(s)" réalisé par Fouad Benhammou
"T'artagueule à la récré" réalisé par Fouad Benhammou
"Bordel de Muses" réalisé par Thomas Ruat, dans le rôle d'une Muse
"Réminiscence" réalisé par Ariane Aggiage
"La pause" réalisé par Laurent Tirard, dans le cadre des Talents Cannes ADAMI 2005. Film projeté au Festival de Cannes 2005
"Rupture(s)" réalisé par Fouad Benhammou
"T'artagueule à la récré" réalisé par Fouad Benhammou
"Bordel de Muses" réalisé par Thomas Ruat, dans le rôle d'une Muse
Mise en scène
"Sacré mariage" de Franck Monsigny. Comédie des 3 Bornes, Théâtre Blancs Manteaux
Moyens-métrages
"Entre Nous" réalisé par Fouad Benhammou, dans le rôle Clara Cohen Chevalier
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"M6.net" réalisée par Laurent Jaudan-Lautier
"Treca" réalisée par Etienne Chatiliez
"Treca" réalisée par Etienne Chatiliez
Réalisation
"Je suis une Robe" court métrage
"Réminiscence" court métrage avec Ariane Aggiage, Albert Delpy, Christophe Lemoine, Vincent Deniard, Maud Le Guenedal, Sandra Dorset & Salomé Doduik
"Réminiscence" court métrage avec Ariane Aggiage, Albert Delpy, Christophe Lemoine, Vincent Deniard, Maud Le Guenedal, Sandra Dorset & Salomé Doduik
Télévision
"Camping Paradis : Une Star au camping" réalisé par Philippe Proteau
"Petits secrets entre voisin : Un coeur en trop"
"VDM"
"Blague à part - Le Fauteuil"
"Petits secrets entre voisin : Un coeur en trop"
"VDM"
"Blague à part - Le Fauteuil"
Théâtre
"Même pas en rêves". La Nouvelle Seine
"Electre et Médée" de Sophocle et mise en scène par Daniel Mesguish, traduit par Vitez, dans le rôle d'Electre et Coryphée
"2 crimes parfaits" de M. Dèque et mise en scène par Patrick Blandin, dans le rôle de Rosette. Au théâtre du Funambule et au théâtre du Rouge Gorge durant le festival d'Avignon
"Le Malade Imaginaire" de Molière et produit par Il Palchetto Stage, dans le rôle de Toinette. En tournée à travers l'Italie
"Fallen Angels" de Noël Coward - play reading in English au café de Flore
"La Foire St Germain" de Regnard et mise en scène par J.L. Bihoreau et S. Druet sur la place Saint Sulpice
"Sganarelle ou le cocu imaginaire" de Molière et mise en scène par T. Sacksick, dans le rôle de Célie. Au Tambour Royal
"The Blue Note" opéra jazz mise en scène par M. Garay, dans le rôle joué et chanté Soledad. Aux Bouffes du nord
"Electre et Médée" de Sophocle et mise en scène par Daniel Mesguish, traduit par Vitez, dans le rôle d'Electre et Coryphée
"2 crimes parfaits" de M. Dèque et mise en scène par Patrick Blandin, dans le rôle de Rosette. Au théâtre du Funambule et au théâtre du Rouge Gorge durant le festival d'Avignon
"Le Malade Imaginaire" de Molière et produit par Il Palchetto Stage, dans le rôle de Toinette. En tournée à travers l'Italie
"Fallen Angels" de Noël Coward - play reading in English au café de Flore
"La Foire St Germain" de Regnard et mise en scène par J.L. Bihoreau et S. Druet sur la place Saint Sulpice
"Sganarelle ou le cocu imaginaire" de Molière et mise en scène par T. Sacksick, dans le rôle de Célie. Au Tambour Royal
"The Blue Note" opéra jazz mise en scène par M. Garay, dans le rôle joué et chanté Soledad. Aux Bouffes du nord
Vidéoclips
"Salsa" de Yuri Buenaventura, réalisé par David Charhon
Autres activités
Journaliste pigiste, pour le site Internet de courts métrages unFilmde.com
Interview
R.S : Bonjour Ariane.
A.A : Bonjour Reynald.
R.S : As-tu toujours voulu être comédienne ?
A.A : Disons très tôt. Vers 8 ans j'hésitais encore entre chanteuze, danssseuze et "actrice". A 12 ans je me suis décidée, j'ai choisi comédienne et j'ai commencé les cours de théâtre pour enfants à la salle Pleyel.
R.S : Comment ressens-tu la communion avec le public lorsque tu es sur scène ?
A.A : Euhhhhhhh... Ce que j'aime sur scène, c'est être sans filet, en direct, avec des gens vivants dans la salle et dont tu dois captiver l'attention, l'émotion. J'aime aussi ce jeu où chacun fait semblant. On retombe en enfance, nous on joue à être quelqu'un d'autre, parfois dans un costume d'époque, et le public fait semblant d'y croire l'espace de la pièce. Le temps s'arrête, on oublie la réalité et on se laisse emporter par notre imaginaire, comme dans un rêve. C'est pour ça que j'aime autant être sur scène que spectatrice.
R.S : Le doublage est arrivé dans ta vie de quelle façon ?
A.A : C'était il n'y a pas très longtemps. C'est Fouad Benhammou, réalisateur, qui m'a vraiment fait connaître l'univers du doublage. Il a tourné son long métrage "Fixion" dans lequel je joue l'héroïne et dans lequel jouent, Patrick Poivey, Richard Darbois, Nicolas Marié, Gérard Dessalles, Patrick Bethune, Xavier Fagnon (son meilleur ami), George Caudron, Laura Blanc et Fabrice Josso entre autres, aux côté d'acteurs plus confirmés comme Sergi Lopez ou Zoé Felix ! Et c'est comme ça que j'ai rencontré Xavier qui par la suite a été mon initiateur. Il devait m'emmener assister à un plateau de doublage, c'était un jour férié et à 13h00 il m'a appelé pour me dire que je devais être à 14h30 à Dubbing parce que la directrice de plateau avait besoin d'une fille ! C'est comme ça que j'ai atterri sur "Shrek 2" avec Barbara Tissier. J'ai fait toutes les petites ambiances féminines ! Il y a pire ! J'avais une trouille d'enfer et à la fois il fallait se lancer, je me suis éclatée ! Barbara a été super avec moi. Après ça j'ai assisté, assisté, assisté, dès que j'avais une minute j'étais sur un plateau. Et voilà. De fil en aiguille j'ai commencé. D'ambiance à petits rôles, à rôle principal. C'est surtout Thierry Wermuth qui m'a fait très vite confiance !
R.S : Au début, la technique doit être déroutante ?
A.A : Oui, c'est peu dire ! Quand j'ai assisté à mes premiers plateaux, je me suis dit, "je n'y arriverai jamais, c'est trop dur, ça va trop vite !". Et puis j'ai rencontré des directeurs de plateaux comme Thierry Wermuth, Claire Guyot, Catherine Le Lann, Pascal Renwick, Gérard Dessalles, Pauline Brunel, Emmanuel Jacomy qui m'ont très vite donné ma chance, qui m'ont aidé à dépasser mes peurs et surtout à privilégier le jeu. Pour eux la technique importe peu. Bien sûr il faut être synchrone, c'est mieux ! Mais entrer dans la peau d'un personnage c'est ce qui, je crois, importe et aide à oublier la technique. Et comme m'a dit un jour Patrick Poivey "il faut bouffer de la bande !". Et c'est ce que j'ai fait en assistant. Et je continue quand je ne travaille pas car je suis encore une novice !
R.S : Nous nous sommes rencontrés sur le plateau de la sitcom "La star de la famille" et grâce à ton interprétation, tu as réussi à nous faire rire. C'est un sacré pouvoir, non ? En as-tu conscience lorsque tu joues ?
A.A : Non, je n'ai pas cette conscience. En doublage, je cherche à coller au personnage et à l'actrice que je double. Pour moi, c'est elle qui était drôle ce jour là, et j'ai essayé de rendre au mieux ce qu'elle dégageait en original. Si je t'ai fait rire tant mieux ! J'ai beaucoup travaillé le jeu, au conservatoire du 10ème d'abord puis dans des stages, sur scène, sur des tournages... J'utilise ce que je connais au service de l'interprétation. Pour l'instant, je fais confiance aux directeurs de plateaux et je m'en remets à eux.
R.S : Comme sur beaucoup de séries, il y avait une certaine course contre la montre. Ça peut être frustrant parfois ?
A.A : Non, au contraire, j'adore ! J'ai peur de ne pas y arriver car ce jour-là en particulier je me frottais à deux pointures du doublage et je voulais être à la hauteur, et à la fois c'est un exercice très excitant. Il faut être sur le qui-vive, ça demande beaucoup d'attention, une articulation travaillée et une interprétation immédiate ! C'est comme un jeu pour moi, il faut en même temps écouter très précisément la BO, décoder le texte, regarder les yeux de l'actrice et son jeu. Ca réveille ! C'est sûr que sur un long métrage on a plus le temps, on travaille avec plus de précision, on prend le temps de réécouter, de refaire encore et encore pour être plus proche de ce que font les acteurs en original, c'est plus confortable. Le luxe !
R.S : Finalement, quelle que soit la branche de la profession, le plaisir de jouer reste le même, seule la manière change !
A.A : Le plaisir de jouer oui, c'est la clef ! S'amuser ! Le doublage permet de développer l'interprétation. Selon si l'on double une série, un long ou un dessin animé c'est différent. Actuellement, je double Latrina, dans le dessin animé "Bromwell" pour Canal +. Avec Stéphanie Laforgue et Sauvane Delanoé qui font mes deux copines et Thierry Wermuth qui nous dirige. On invente des voix, les personnages, c'est une aventure humaine aussi ! J'utilise ma voix aiguë, j'explore, c'est nouveau ! Grâce au doublage, j'ai interprété un petit garçon, une pigeonne, une femme obèse, beaucoup de blondes, une peste, une femme fatale, une tueuse asiatique, une coiffeuse aux cheveux rouges... C'est très amusant ! Mais j'adore la scène, jouer avec son corps : la danse, l'escrime théâtrale, le yoga... J'aime ce rapport physique à un personnage, lui trouver une démarche, une façon de s'habiller, de parler, de chanter, je trouve qu'un acteur doit se travailler comme un outil.
R.S : Mis à part ton métier, quelles sont tes passions ?
A.A : Spectatrice, je passe pas mal de temps dans les salles obscures ou les théâtres. Le dessin, la peinture, les arts manuels ! Je pense que je vais bientôt commencer la poterie et la mosaïque, je trouve ça génial d'avoir les mains sales et pleines de colle, d'argile, de peinture et de créer comme quand on était enfant, en s'en mettant partout ! Et bien sûr le chant. Je me remets d'ailleurs au solfège et au déchiffrage de partition, j'apprends. Aussi dans mon coin j'écris. J'ai fini un court-métrage et j'ai déjà écrit la moitié d'une pièce de théâtre, mais je prends mon temps.
R.S : Merci beaucoup Ariane.
A.A : Merci à toi !
Interview de novembre 2005
A.A : Bonjour Reynald.
R.S : As-tu toujours voulu être comédienne ?
A.A : Disons très tôt. Vers 8 ans j'hésitais encore entre chanteuze, danssseuze et "actrice". A 12 ans je me suis décidée, j'ai choisi comédienne et j'ai commencé les cours de théâtre pour enfants à la salle Pleyel.
R.S : Comment ressens-tu la communion avec le public lorsque tu es sur scène ?
A.A : Euhhhhhhh... Ce que j'aime sur scène, c'est être sans filet, en direct, avec des gens vivants dans la salle et dont tu dois captiver l'attention, l'émotion. J'aime aussi ce jeu où chacun fait semblant. On retombe en enfance, nous on joue à être quelqu'un d'autre, parfois dans un costume d'époque, et le public fait semblant d'y croire l'espace de la pièce. Le temps s'arrête, on oublie la réalité et on se laisse emporter par notre imaginaire, comme dans un rêve. C'est pour ça que j'aime autant être sur scène que spectatrice.
R.S : Le doublage est arrivé dans ta vie de quelle façon ?
A.A : C'était il n'y a pas très longtemps. C'est Fouad Benhammou, réalisateur, qui m'a vraiment fait connaître l'univers du doublage. Il a tourné son long métrage "Fixion" dans lequel je joue l'héroïne et dans lequel jouent, Patrick Poivey, Richard Darbois, Nicolas Marié, Gérard Dessalles, Patrick Bethune, Xavier Fagnon (son meilleur ami), George Caudron, Laura Blanc et Fabrice Josso entre autres, aux côté d'acteurs plus confirmés comme Sergi Lopez ou Zoé Felix ! Et c'est comme ça que j'ai rencontré Xavier qui par la suite a été mon initiateur. Il devait m'emmener assister à un plateau de doublage, c'était un jour férié et à 13h00 il m'a appelé pour me dire que je devais être à 14h30 à Dubbing parce que la directrice de plateau avait besoin d'une fille ! C'est comme ça que j'ai atterri sur "Shrek 2" avec Barbara Tissier. J'ai fait toutes les petites ambiances féminines ! Il y a pire ! J'avais une trouille d'enfer et à la fois il fallait se lancer, je me suis éclatée ! Barbara a été super avec moi. Après ça j'ai assisté, assisté, assisté, dès que j'avais une minute j'étais sur un plateau. Et voilà. De fil en aiguille j'ai commencé. D'ambiance à petits rôles, à rôle principal. C'est surtout Thierry Wermuth qui m'a fait très vite confiance !
R.S : Au début, la technique doit être déroutante ?
A.A : Oui, c'est peu dire ! Quand j'ai assisté à mes premiers plateaux, je me suis dit, "je n'y arriverai jamais, c'est trop dur, ça va trop vite !". Et puis j'ai rencontré des directeurs de plateaux comme Thierry Wermuth, Claire Guyot, Catherine Le Lann, Pascal Renwick, Gérard Dessalles, Pauline Brunel, Emmanuel Jacomy qui m'ont très vite donné ma chance, qui m'ont aidé à dépasser mes peurs et surtout à privilégier le jeu. Pour eux la technique importe peu. Bien sûr il faut être synchrone, c'est mieux ! Mais entrer dans la peau d'un personnage c'est ce qui, je crois, importe et aide à oublier la technique. Et comme m'a dit un jour Patrick Poivey "il faut bouffer de la bande !". Et c'est ce que j'ai fait en assistant. Et je continue quand je ne travaille pas car je suis encore une novice !
R.S : Nous nous sommes rencontrés sur le plateau de la sitcom "La star de la famille" et grâce à ton interprétation, tu as réussi à nous faire rire. C'est un sacré pouvoir, non ? En as-tu conscience lorsque tu joues ?
A.A : Non, je n'ai pas cette conscience. En doublage, je cherche à coller au personnage et à l'actrice que je double. Pour moi, c'est elle qui était drôle ce jour là, et j'ai essayé de rendre au mieux ce qu'elle dégageait en original. Si je t'ai fait rire tant mieux ! J'ai beaucoup travaillé le jeu, au conservatoire du 10ème d'abord puis dans des stages, sur scène, sur des tournages... J'utilise ce que je connais au service de l'interprétation. Pour l'instant, je fais confiance aux directeurs de plateaux et je m'en remets à eux.
R.S : Comme sur beaucoup de séries, il y avait une certaine course contre la montre. Ça peut être frustrant parfois ?
A.A : Non, au contraire, j'adore ! J'ai peur de ne pas y arriver car ce jour-là en particulier je me frottais à deux pointures du doublage et je voulais être à la hauteur, et à la fois c'est un exercice très excitant. Il faut être sur le qui-vive, ça demande beaucoup d'attention, une articulation travaillée et une interprétation immédiate ! C'est comme un jeu pour moi, il faut en même temps écouter très précisément la BO, décoder le texte, regarder les yeux de l'actrice et son jeu. Ca réveille ! C'est sûr que sur un long métrage on a plus le temps, on travaille avec plus de précision, on prend le temps de réécouter, de refaire encore et encore pour être plus proche de ce que font les acteurs en original, c'est plus confortable. Le luxe !
R.S : Finalement, quelle que soit la branche de la profession, le plaisir de jouer reste le même, seule la manière change !
A.A : Le plaisir de jouer oui, c'est la clef ! S'amuser ! Le doublage permet de développer l'interprétation. Selon si l'on double une série, un long ou un dessin animé c'est différent. Actuellement, je double Latrina, dans le dessin animé "Bromwell" pour Canal +. Avec Stéphanie Laforgue et Sauvane Delanoé qui font mes deux copines et Thierry Wermuth qui nous dirige. On invente des voix, les personnages, c'est une aventure humaine aussi ! J'utilise ma voix aiguë, j'explore, c'est nouveau ! Grâce au doublage, j'ai interprété un petit garçon, une pigeonne, une femme obèse, beaucoup de blondes, une peste, une femme fatale, une tueuse asiatique, une coiffeuse aux cheveux rouges... C'est très amusant ! Mais j'adore la scène, jouer avec son corps : la danse, l'escrime théâtrale, le yoga... J'aime ce rapport physique à un personnage, lui trouver une démarche, une façon de s'habiller, de parler, de chanter, je trouve qu'un acteur doit se travailler comme un outil.
R.S : Mis à part ton métier, quelles sont tes passions ?
A.A : Spectatrice, je passe pas mal de temps dans les salles obscures ou les théâtres. Le dessin, la peinture, les arts manuels ! Je pense que je vais bientôt commencer la poterie et la mosaïque, je trouve ça génial d'avoir les mains sales et pleines de colle, d'argile, de peinture et de créer comme quand on était enfant, en s'en mettant partout ! Et bien sûr le chant. Je me remets d'ailleurs au solfège et au déchiffrage de partition, j'apprends. Aussi dans mon coin j'écris. J'ai fini un court-métrage et j'ai déjà écrit la moitié d'une pièce de théâtre, mais je prends mon temps.
R.S : Merci beaucoup Ariane.
A.A : Merci à toi !
Interview de novembre 2005