Kelyan Blanc
Genres :
Voix Adolescent garçon, Voix Jeune adulte homme, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent non déterminé
Accents :
Anglais, Espagnol
Doublage
TV Special
Harry Potter : retour à Poudlard - 20 ans de magie
Voix
CD-ROM
Des amis multilingues à travers le monde, Hippo Family Club, Japon : Hiroto
Emission TV
Harry Potter : Les secrets du phénomène (Narrateur)
Emission TV
Les 100 premiers jours (TFX)
Publicité
Lego Harry Potter
Interview
R.S : Bonjour Kelyan.
K.B : Bien le bonjour.
R.S : Tu as commencé très jeune dans le doublage. Comment cela est-il arrivé ?
K.B : J’ai eu la chance d’être dans une génération où l’on cherchait des enfants pour le doublage. Il y a eu une personne travaillant à l’Européenne du Doublage, à l’époque, qui a fait essayer tous les enfants de la troupe de théâtre de ma ville. Comme cela s’est bien passé, je n’ai jamais arrêté.
R.S : En grandissant, voit-on le métier autrement ?
K.B : Pas vraiment, dans le sens où c’est toujours un immense plaisir d’incarner des rôles si différents. Au final, je m’amuse toujours autant.
R.S : As-tu conscience d’avoir accompagné toute une génération à travers ta voix ?
K.B : J’ai conscience que ma voix a accompagné énormément de monde, et continue encore aujourd’hui. C’est une chance immense pour moi.
R.S : On retrouve aujourd’hui beaucoup d’interviews sur des médias alternatifs comme YouTube… As-tu le sentiment que ces formats créent un lien différent, plus direct, avec le public ?
K.B : L’arrivée des réseaux sociaux a complètement changé le rapport du public au doublage. Même si le doublage est vraiment un métier de l’ombre, dans lequel plus on se fait oublier, mieux c’est, cela fait toujours plaisir d’avoir une reconnaissance dans ce que l’on fait.
R.S : Comment vois-tu l’évolution du doublage en France ?
K.B : Tout va beaucoup plus vite par rapport à l’époque où j’ai commencé. Je me souviens d’attendre vingt minutes pour le changement d’une bobine en 35 mm. Maintenant, tout est numérique et cela permet d’avancer bien plus rapidement. Le côté négatif, c’est qu’on passe moins de temps avec l’équipe pour discuter de tout et de rien.
R.S : En tant que comédien, qu’est-ce qui te fait encore rêver aujourd’hui ?
K.B : Le métier en lui-même continue de me faire rêver. C’est une vraie passion. Chaque nouveau rôle est un défi à relever. Quel bonheur !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.B : J’ai toujours aimé apprendre. J’ai passé des diplômes pour le plaisir d’apprendre de nouvelles choses, que ce soit dans le sport ou les sciences.
R.S : Merci beaucoup, Kelyan.
K.B : Merci beaucoup.
Interview de novembre 2025
K.B : Bien le bonjour.
R.S : Tu as commencé très jeune dans le doublage. Comment cela est-il arrivé ?
K.B : J’ai eu la chance d’être dans une génération où l’on cherchait des enfants pour le doublage. Il y a eu une personne travaillant à l’Européenne du Doublage, à l’époque, qui a fait essayer tous les enfants de la troupe de théâtre de ma ville. Comme cela s’est bien passé, je n’ai jamais arrêté.
R.S : En grandissant, voit-on le métier autrement ?
K.B : Pas vraiment, dans le sens où c’est toujours un immense plaisir d’incarner des rôles si différents. Au final, je m’amuse toujours autant.
R.S : As-tu conscience d’avoir accompagné toute une génération à travers ta voix ?
K.B : J’ai conscience que ma voix a accompagné énormément de monde, et continue encore aujourd’hui. C’est une chance immense pour moi.
R.S : On retrouve aujourd’hui beaucoup d’interviews sur des médias alternatifs comme YouTube… As-tu le sentiment que ces formats créent un lien différent, plus direct, avec le public ?
K.B : L’arrivée des réseaux sociaux a complètement changé le rapport du public au doublage. Même si le doublage est vraiment un métier de l’ombre, dans lequel plus on se fait oublier, mieux c’est, cela fait toujours plaisir d’avoir une reconnaissance dans ce que l’on fait.
R.S : Comment vois-tu l’évolution du doublage en France ?
K.B : Tout va beaucoup plus vite par rapport à l’époque où j’ai commencé. Je me souviens d’attendre vingt minutes pour le changement d’une bobine en 35 mm. Maintenant, tout est numérique et cela permet d’avancer bien plus rapidement. Le côté négatif, c’est qu’on passe moins de temps avec l’équipe pour discuter de tout et de rien.
R.S : En tant que comédien, qu’est-ce qui te fait encore rêver aujourd’hui ?
K.B : Le métier en lui-même continue de me faire rêver. C’est une vraie passion. Chaque nouveau rôle est un défi à relever. Quel bonheur !
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.B : J’ai toujours aimé apprendre. J’ai passé des diplômes pour le plaisir d’apprendre de nouvelles choses, que ce soit dans le sport ou les sciences.
R.S : Merci beaucoup, Kelyan.
K.B : Merci beaucoup.
Interview de novembre 2025

