Bianca Tomassian
Genres :
Voix Bambin garçon, Voix Bambin fille, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent garçon, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme
Tonalité :
Aiguë, Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique, Espagnol, Italien
Accents :
Anglais, Canadien, Espagnol
Spécificités :
Chant
Doublage
Voix
Podcast
Les Têtes curieuses : le sourire des crânes et Marcel court (Exposition Ron Mueck pour la fondation cartier)
Danse
2019 à 2024 - Classe concours Centre des arts vivants (Choreia) Paris 11eme (formation Spectacles scéniques) (participation à de nombreuses compétitions nationales et européennes) où nous avons plusieurs fois remporté les premiers et deuxièmes prix en Catégorie "autre style" et "contemporain" Hip-hop puis Contemporain (Cannes prestige, concours international de Paris, concours européens 123 danse, CND...)
Langues
Espagnol (bilingue)
Anglais (lu/parlé)
Italien (notions)
Accents :
Espagnole
Anglais
Québécois
Anglais (lu/parlé)
Italien (notions)
Accents :
Espagnole
Anglais
Québécois
Sports
Boxe Francaise : depuis 2012
2017 et 2020 Championne Ile de France
2022 - Vice championne de France
2025 - Championne de France
2017 et 2020 Championne Ile de France
2022 - Vice championne de France
2025 - Championne de France
Théâtre
2020/2022 - Scolaire (Hamlet : Gertrude la reine) (La cantatrice chauve)
2023 Stage aux Plateaux sauvages dirigé par Laetitia Guedon
2023 Stage de théâtre au cours Florent animé par Claire Boust
2024 Stage à L'ESAD "théâtre physique : corps en travail, corps en représentation"
2024 Stage au théâtre de la cité internationale en partenariat avec l’ESAD : "Corps et texte" animé par Thomas Couppey
2023 Stage aux Plateaux sauvages dirigé par Laetitia Guedon
2023 Stage de théâtre au cours Florent animé par Claire Boust
2024 Stage à L'ESAD "théâtre physique : corps en travail, corps en représentation"
2024 Stage au théâtre de la cité internationale en partenariat avec l’ESAD : "Corps et texte" animé par Thomas Couppey
Tournages
2021 "Combattantes" réalisé par Valérie Muller pour France 2 dans la catégorie Infrarouge documentaire sur les boxeuses
2019 Participation au court métrage "Je suis un Colibri" Nikon Festival réalisé par Marjorie Frantz
2019 Participation au court métrage "Je suis un Colibri" Nikon Festival réalisé par Marjorie Frantz
Interview
R.S : Bonjour Bianca.
B.T : Bonjour Reynald ! Merci de m’accueillir sur ta jolie page.
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir comédienne et de monter sur scène pour la première fois ?
B.T : Et bien je dirais que j’ai eu la chance de grandir dans une famille ou l’artistique occupait une grande place. Je me rappelle ma mamie nous emmenant tous les Mercredi à la cinémathèque Française pour nous faire découvrir de nouvelles histoires et univers qui me fascinaient à chaque fois. De nature assez hyperactive, je m'amusais avec mes cousins et cousines à monter des contes en petits spectacles pour la famille. Je trouvais incroyable la multitude de possibilités d’adaptations qui s'offraient à nous et comment chacun pouvait donner une couleur différente à son personnage. Et puis je dois l'avouer mon oncle évolue dans ce milieu depuis son enfance ; j'avais des étoiles pleins les yeux quand je l'entendais raconter ses expériences de tournages, doublages et comédies musicales telle que les Misérables.
R.S : En quoi ton parcours de danseuse nourrit-il ton jeu d’actrice, et qu’as-tu gardé de l’énergie des compétitions sur scène ?
B.T : Je trouve que ce qui fait la beauté de la danse, au delà de la maîtrise technique, c’est vraiment l’expression qu’on y met. Pour moi c’est essentiel d' avoir la capacité de se laisser traverser par la musique, ressentir et exprimer tous ces états qui nous parcourent... un peu comme dans le doublage finalement. J’ai eu la chance de danser pendant plus de 5 ans dans une classe concours et on avait beaucoup de passages en groupe. Cela demande un travail sérieux, régulier chacun de notre côté, pour pouvoir finalement s’assembler. Et lorsqu’on arrive à cette fusion, on sent une énergie incroyable qui nous porte sur scène. On fait partie d’un tout homogène qui permet de transcender la plate représentation.
R.S : Quelle importance donnes-tu à la maîtrise des langues et des accents dans ton métier ?
B.T : Selon les langues, les intonations changent. Je suis convaincue que maîtriser une langue avec un bon accent aide à une meilleure compréhension des scènes en identifiant les sous entendus. Cela permet de pouvoir donner sa propre interprétation en restant juste sans chercher à imiter une certaine musicalité.
R.S : Quels souvenirs gardes-tu de tes premiers pas dans le doublage ?
B.T : Je me rappelle avoir adoré le doublage dès mes premières expériences. Comme beaucoup de jeunes, j'ai commencé par des petites ambiances afin de découvrir un peu le mécanisme du milieu. Je me souviendrai toujours de la premiere fois où je suis sortie de studio, ma mère m'a demandé si ça m'avait plu et je lui avais répondu : "oui !! Mais maintenant je veux faire un grand rôle".
R.S : Entre la scène, l’écran, le doublage, où te sens-tu la plus libre ?
B.T : Mmm c’est une question assez compliquée car je prends autant de plaisir dans chaque domaine. Mais je dirais qu’il y a deux types de liberté : Pour ce qui concerne l'écran et le doublage, il y a toujours la possibilité, d’une prise à l'autre, de recommencer et proposer quelque chose de différent. La scène c’est l’Art du présent, on sait qu’on a pas vraiment le droit à l'erreur quand on s’y trouve. Ça pourrait être vu comme une contrainte mais au contraire... Dès qu'on fait son entrée, on vit notre histoire jusqu’au bout sans interruption. Disons que ce qui différencie ces expériences, c’est simplement la durée pendant laquelle on s’oublie et on revient à soi.
R.S : La boxe française fait partie de ta vie depuis longtemps, tu es championne de France en 2025 : comment arrives-tu à concilier une carrière artistique et un niveau aussi exigeant en sport ?
B.T : Comme je l’ai dis un peu plus haut, je suis de nature curieuse mais surtout hyperactive. Depuis très jeune j’ai toujours eu l’habitude de faire beaucoup d'activités pour me canaliser. Mais c'est sûr qu’en grandissant, ces dernières prennent une tournure un peu plus sérieuse. Mon petit secret pour pouvoir mener de front la Boxe à "haut niveau", une carrière artistique, une licence de théâtre à la Sorbonne et les cours de danse, c’est que je suis devenue une vraie reine de l’organisation ! :)
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.T : J’aime lire, écrire, aller au théâtre, au cinéma, danser, chanter, boxer, dessiner, créer des podcasts, regarder des docus... Bref je suis assez touche à tout.
R.S : Merci beaucoup Bianca.
B.T : Merci à toi surtout.
Interview de septembre 2025
B.T : Bonjour Reynald ! Merci de m’accueillir sur ta jolie page.
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir comédienne et de monter sur scène pour la première fois ?
B.T : Et bien je dirais que j’ai eu la chance de grandir dans une famille ou l’artistique occupait une grande place. Je me rappelle ma mamie nous emmenant tous les Mercredi à la cinémathèque Française pour nous faire découvrir de nouvelles histoires et univers qui me fascinaient à chaque fois. De nature assez hyperactive, je m'amusais avec mes cousins et cousines à monter des contes en petits spectacles pour la famille. Je trouvais incroyable la multitude de possibilités d’adaptations qui s'offraient à nous et comment chacun pouvait donner une couleur différente à son personnage. Et puis je dois l'avouer mon oncle évolue dans ce milieu depuis son enfance ; j'avais des étoiles pleins les yeux quand je l'entendais raconter ses expériences de tournages, doublages et comédies musicales telle que les Misérables.
R.S : En quoi ton parcours de danseuse nourrit-il ton jeu d’actrice, et qu’as-tu gardé de l’énergie des compétitions sur scène ?
B.T : Je trouve que ce qui fait la beauté de la danse, au delà de la maîtrise technique, c’est vraiment l’expression qu’on y met. Pour moi c’est essentiel d' avoir la capacité de se laisser traverser par la musique, ressentir et exprimer tous ces états qui nous parcourent... un peu comme dans le doublage finalement. J’ai eu la chance de danser pendant plus de 5 ans dans une classe concours et on avait beaucoup de passages en groupe. Cela demande un travail sérieux, régulier chacun de notre côté, pour pouvoir finalement s’assembler. Et lorsqu’on arrive à cette fusion, on sent une énergie incroyable qui nous porte sur scène. On fait partie d’un tout homogène qui permet de transcender la plate représentation.
R.S : Quelle importance donnes-tu à la maîtrise des langues et des accents dans ton métier ?
B.T : Selon les langues, les intonations changent. Je suis convaincue que maîtriser une langue avec un bon accent aide à une meilleure compréhension des scènes en identifiant les sous entendus. Cela permet de pouvoir donner sa propre interprétation en restant juste sans chercher à imiter une certaine musicalité.
R.S : Quels souvenirs gardes-tu de tes premiers pas dans le doublage ?
B.T : Je me rappelle avoir adoré le doublage dès mes premières expériences. Comme beaucoup de jeunes, j'ai commencé par des petites ambiances afin de découvrir un peu le mécanisme du milieu. Je me souviendrai toujours de la premiere fois où je suis sortie de studio, ma mère m'a demandé si ça m'avait plu et je lui avais répondu : "oui !! Mais maintenant je veux faire un grand rôle".
R.S : Entre la scène, l’écran, le doublage, où te sens-tu la plus libre ?
B.T : Mmm c’est une question assez compliquée car je prends autant de plaisir dans chaque domaine. Mais je dirais qu’il y a deux types de liberté : Pour ce qui concerne l'écran et le doublage, il y a toujours la possibilité, d’une prise à l'autre, de recommencer et proposer quelque chose de différent. La scène c’est l’Art du présent, on sait qu’on a pas vraiment le droit à l'erreur quand on s’y trouve. Ça pourrait être vu comme une contrainte mais au contraire... Dès qu'on fait son entrée, on vit notre histoire jusqu’au bout sans interruption. Disons que ce qui différencie ces expériences, c’est simplement la durée pendant laquelle on s’oublie et on revient à soi.
R.S : La boxe française fait partie de ta vie depuis longtemps, tu es championne de France en 2025 : comment arrives-tu à concilier une carrière artistique et un niveau aussi exigeant en sport ?
B.T : Comme je l’ai dis un peu plus haut, je suis de nature curieuse mais surtout hyperactive. Depuis très jeune j’ai toujours eu l’habitude de faire beaucoup d'activités pour me canaliser. Mais c'est sûr qu’en grandissant, ces dernières prennent une tournure un peu plus sérieuse. Mon petit secret pour pouvoir mener de front la Boxe à "haut niveau", une carrière artistique, une licence de théâtre à la Sorbonne et les cours de danse, c’est que je suis devenue une vraie reine de l’organisation ! :)
R.S : Quels sont tes loisirs ?
B.T : J’aime lire, écrire, aller au théâtre, au cinéma, danser, chanter, boxer, dessiner, créer des podcasts, regarder des docus... Bref je suis assez touche à tout.
R.S : Merci beaucoup Bianca.
B.T : Merci à toi surtout.
Interview de septembre 2025