Mathieu Touquet
Genres :
Voix Jeune adulte homme, Voix Adulte homme
Tonalité :
Medium, Grave
Doublage
Formation
2014 BTS Audiovisuel option métiers de l’image
2023 Formation Dub School Intervenant.es : Dorothée Pousséo, Kelly Marrot, Marie Laure Beneston, Donald Reignoux
2025 Divers ateliers perfectionnement Intervenant.es : Barbara Delsol, Fabrice Josso, Laura Préjean, Yann Peira, Raphaël Anciaux, Isabelle Leprince, Olivia Luccioni, Marie-Eugénie Maréchal
2023 Formation Dub School Intervenant.es : Dorothée Pousséo, Kelly Marrot, Marie Laure Beneston, Donald Reignoux
2025 Divers ateliers perfectionnement Intervenant.es : Barbara Delsol, Fabrice Josso, Laura Préjean, Yann Peira, Raphaël Anciaux, Isabelle Leprince, Olivia Luccioni, Marie-Eugénie Maréchal
Parcours
2005/2009 Cours de théâtre dans le cadre scolaire
2007/2010 Spectacle vivant, théâtre de rue, escrime artistique
2015/2021 Technicien audiovisuel, electro
2021/2025 Game master pour des animations/escape game en entreprise
2007/2010 Spectacle vivant, théâtre de rue, escrime artistique
2015/2021 Technicien audiovisuel, electro
2021/2025 Game master pour des animations/escape game en entreprise
Interview
R.S : Bonjour Mathieu.
M.T : Bonjour Reynald !
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de monter sur scène pour la première fois ?
M.T : J’ai commencé très tôt, à l’adolescence, à écrire des scénarios et à jouer devant la caméra, qui était à l’époque un petit appareil photo avec une option vidéo. J’avais monté un petit collectif avec des copains, dans lequel on réalisait des courts métrages et jouait dedans. En parallèle, je faisais de l’escrime sportive et le club a ouvert une section d’escrime artistique. L’objectif était de faire du théâtre de rue, de se costumer et de créer des chorégraphies de combats de cape et d’épée : il ne m’en a pas fallu davantage pour me convaincre !
R.S : Pourquoi avoir choisi ensuite une formation en audiovisuel ?
M.T : A l’époque, je me disais que je voulais travailler dans le cinéma, sans savoir réellement dans quoi. J’avais des goûts et des envies très éclectiques : j’adorais créer des images, écrire, réaliser, jouer, et je me suis dit qu’apprendre à construire des films serait très certainement bénéfique. Je suis ensuite arrivé à Paris et il a fallu que je trouve du travail, donc je suis devenu technicien.
R.S : L’escrime artistique est assez rare dans un parcours de comédien : qu’est-ce que cette discipline t’apporte aujourd’hui ?
M.T : Je garde de cette expérience la façon dont on m’a appris à jouer à l’époque. Mon professeur nous demandait de jouer de manière très "simple", sans fioritures. C’est aussi une discipline très énergique, donc je dirais que ça me permet de ne pas hésiter à en donner quand il faut et de ne pas avoir de retenue.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
M.T : Le tout début, c’était suite à un concours organisé par une société qui offrait la chance d’interpréter un tout petit personnage dans un dessin animé. Il fallait enregistrer une phrase et l’envoyer. J’ai reçu la réponse le jour de mon anniversaire : c’était un joli cadeau pour moi qui ne pensais jamais avoir la chance de mettre les pieds dans un studio de ma vie. Ensuite, comme beaucoup, je me suis inscrit dans des formations pour pratiquer la technique du doublage.
R.S : La Dub School t’a permis de travailler avec beaucoup de comédiens reconnus dans le doublage. Qu’est-ce que tu en retiens le plus ?
M.T : Que ce soit la Dub School ou d’autres formations, ce que je retiens le plus, c’est de pouvoir bénéficier des conseils et des méthodologies de travail de profils très différents. Quand on est comédien, et qui plus est dans le doublage, on est une pâte à modeler qui doit s’adapter à des façons de travailler et à des directions artistiques très variées. C’est cette diversité d’expériences que je retiens le plus. J’ai également pu rencontrer Marie-Laure Beneston durant l’une de ces formations, que je ne remercierai jamais assez !
R.S : Qu’est-ce qui te plaît particulièrement dans le jeu de voix par rapport au jeu face caméra ou sur scène ?
M.T : J’aime le fait de devoir me mettre dans les bottes de quelqu’un d’autre, de faire au mieux pour ne pas trahir la performance de l’acteur à l’écran. Il y a aussi un lâcher-prise, en fonction des projets, qui peut être assez grisant. C’est également l’occasion d’interpréter humblement des choses qu’on n’aura peut-être jamais l’occasion de faire à la caméra, par exemple.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.T : Je lis, même si j’aimerais le faire plus. Je suis un grand passionné de jeux vidéo et j’aime aussi faire un peu de photo. J’apprécie les belles images bien composées et il m’arrive de m’arrêter lors de mes balades pour en prendre. J’ai été président d’une association caritative pendant quelques années, qui utilisait le jeu vidéo pour soutenir diverses causes, et il m’arrive encore d’être investi dans ce type d’actions.
R.S : Merci beaucoup, Mathieu.
M.T : Merci pour ce super site et ta réactivité Reynald !
Interview de décembre 2025
M.T : Bonjour Reynald !
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de monter sur scène pour la première fois ?
M.T : J’ai commencé très tôt, à l’adolescence, à écrire des scénarios et à jouer devant la caméra, qui était à l’époque un petit appareil photo avec une option vidéo. J’avais monté un petit collectif avec des copains, dans lequel on réalisait des courts métrages et jouait dedans. En parallèle, je faisais de l’escrime sportive et le club a ouvert une section d’escrime artistique. L’objectif était de faire du théâtre de rue, de se costumer et de créer des chorégraphies de combats de cape et d’épée : il ne m’en a pas fallu davantage pour me convaincre !
R.S : Pourquoi avoir choisi ensuite une formation en audiovisuel ?
M.T : A l’époque, je me disais que je voulais travailler dans le cinéma, sans savoir réellement dans quoi. J’avais des goûts et des envies très éclectiques : j’adorais créer des images, écrire, réaliser, jouer, et je me suis dit qu’apprendre à construire des films serait très certainement bénéfique. Je suis ensuite arrivé à Paris et il a fallu que je trouve du travail, donc je suis devenu technicien.
R.S : L’escrime artistique est assez rare dans un parcours de comédien : qu’est-ce que cette discipline t’apporte aujourd’hui ?
M.T : Je garde de cette expérience la façon dont on m’a appris à jouer à l’époque. Mon professeur nous demandait de jouer de manière très "simple", sans fioritures. C’est aussi une discipline très énergique, donc je dirais que ça me permet de ne pas hésiter à en donner quand il faut et de ne pas avoir de retenue.
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
M.T : Le tout début, c’était suite à un concours organisé par une société qui offrait la chance d’interpréter un tout petit personnage dans un dessin animé. Il fallait enregistrer une phrase et l’envoyer. J’ai reçu la réponse le jour de mon anniversaire : c’était un joli cadeau pour moi qui ne pensais jamais avoir la chance de mettre les pieds dans un studio de ma vie. Ensuite, comme beaucoup, je me suis inscrit dans des formations pour pratiquer la technique du doublage.
R.S : La Dub School t’a permis de travailler avec beaucoup de comédiens reconnus dans le doublage. Qu’est-ce que tu en retiens le plus ?
M.T : Que ce soit la Dub School ou d’autres formations, ce que je retiens le plus, c’est de pouvoir bénéficier des conseils et des méthodologies de travail de profils très différents. Quand on est comédien, et qui plus est dans le doublage, on est une pâte à modeler qui doit s’adapter à des façons de travailler et à des directions artistiques très variées. C’est cette diversité d’expériences que je retiens le plus. J’ai également pu rencontrer Marie-Laure Beneston durant l’une de ces formations, que je ne remercierai jamais assez !
R.S : Qu’est-ce qui te plaît particulièrement dans le jeu de voix par rapport au jeu face caméra ou sur scène ?
M.T : J’aime le fait de devoir me mettre dans les bottes de quelqu’un d’autre, de faire au mieux pour ne pas trahir la performance de l’acteur à l’écran. Il y a aussi un lâcher-prise, en fonction des projets, qui peut être assez grisant. C’est également l’occasion d’interpréter humblement des choses qu’on n’aura peut-être jamais l’occasion de faire à la caméra, par exemple.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
M.T : Je lis, même si j’aimerais le faire plus. Je suis un grand passionné de jeux vidéo et j’aime aussi faire un peu de photo. J’apprécie les belles images bien composées et il m’arrive de m’arrêter lors de mes balades pour en prendre. J’ai été président d’une association caritative pendant quelques années, qui utilisait le jeu vidéo pour soutenir diverses causes, et il m’arrive encore d’être investi dans ce type d’actions.
R.S : Merci beaucoup, Mathieu.
M.T : Merci pour ce super site et ta réactivité Reynald !
Interview de décembre 2025

