Amandine Chaquin
Genres :
Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent britannique
Spécificités :
Chant
Doublage
Voix
Documentaire
Skywalkers d'amour et de vertige
Livre audio
La fabuleuse laverie de Marigold (de Jungeun Yun)
Livre audio
La Guerre Du Pavot (Rebecca F. Kuang)
Son & Lumière
Coeur de lumière - Le roman de St Sulpice
Son & Lumière
Terra Loreina - L'Odyssée de la Lorraine
Formation
CRR Paris (Conservatoire à Rayonnement Régional) - 2025 - aujourd’hui
Cours “voix enregistrée” d’Olivier Bernard
Conservatoire Darius Milhaud (14ème) - 2024 - aujourd’hui
Art dramatique cycle C3 - quatrième année
AET (attestation d’études théâtrales) obtenue en 3ème année.
Ecole Claude Mathieu - 2023
Art dramatique
Cursus pro
Centre des arts de la scène - 2023
Cours du soir intensifs (6h par semaine)
Théâtre et chant
Cours “voix enregistrée” d’Olivier Bernard
Conservatoire Darius Milhaud (14ème) - 2024 - aujourd’hui
Art dramatique cycle C3 - quatrième année
AET (attestation d’études théâtrales) obtenue en 3ème année.
Ecole Claude Mathieu - 2023
Art dramatique
Cursus pro
Centre des arts de la scène - 2023
Cours du soir intensifs (6h par semaine)
Théâtre et chant
Théâtre
"Bienvenue en absurdie" mise en scène de Jacques Mornas
"L'enfant et les sortilèges de Maurice Ravel" mise en scène de Damien Luce
"L'enfant et les sortilèges de Maurice Ravel" mise en scène de Damien Luce
Interview
R.S : Bonjour Amandine.
A.C : Bonjour Reynald !
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir comédienne ? Tu te souviens du déclic ?
A.C : Je n’étais pas du tout partie pour devenir comédienne. Je sortais d’une première école de commerce et je commençais un master spécialisé dans le commerce du vin, ma passion de l’époque. Même si tout se passait très bien d’un point de vue professionnel, je ne trouvais pas de sens dans ce que je faisais et ça me rendait très malheureuse. J’ai fini par tout plaquer et j’ai quitté Bordeaux pour aller à Paris. Je voulais être artiste (mes parents ont un peu déchanté, haha...), je ne savais pas encore comment, mais j’avais besoin de changer de cap. La comédie m’a ouvert ses portes et j’y ai trouvé le sens que je cherchais depuis quelques années.
R.S : Comment s’est passée ton entrée au Conservatoire Darius Milhaud ?
A.C : Très bien ! Je sortais de l’école Claude Mathieu et je cherchais un nouvel établissement pour continuer le théâtre avec une approche différente. J’ai eu la chance d’intégrer une promo remplie de gens talentueux et passionnés. Je suis très satisfaite de l’enseignement que j’y reçois et je tiens à remercier mes professeures, Emmanuelle Wion ainsi qu’Alice Benoît Fourdinier, qui vont beaucoup me manquer à la rentrée prochaine.
R.S : Comment tu décrirais ton rapport à la scène ? Qu’est-ce que tu ressens avant d’entrer en jeu ?
A.C : Je suis quelqu’un de très stressée dans la vie, mais j’ai appris à faire avec et à transformer ça en énergie galvanisante (ou en tout cas, j’essaie). Mais ce qui prime, c’est l’excitation, dans tous les cas. Je suis toujours un peu triste avant d’entrer pour les dernières scènes : ça passe toujours tellement vite !
R.S : Tu préfères le théâtre classique ou contemporain ?
A.C : Elle est trop dure, ta question ! (rires) Mais je dirais le théâtre classique, même si je mets en scène du contemporain en ce moment...
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.C : Par hasard ! C’est arrivé grâce à des rencontres pendant ma première année à Paris. Je me suis retrouvée à assister en studio et à découvrir cette branche du métier, qui m’a tout de suite fascinée. On m’a ensuite donné ma chance sur de petites choses, et le reste s’est fait naturellement. J’ai parfois du mal à réaliser la chance que j’ai eue, mais en tout cas, je suis très reconnaissante.
R.S : Est-ce un défi pour toi de retrouver la justesse émotionnelle de la comédienne originale quand tu n’as que la voix pour traduire son intention ?
A.C : C’est un exercice particulier, bien sûr, mais c’est ce qui le rend passionnant. Chercher les chemins que la comédienne à l’image a empruntés pour ensuite retranscrire une émotion similaire avec ses propres intentions, ça me plaît beaucoup.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.C : Je suis très casanière, j’avoue... Donc quand je ne suis pas au conservatoire ou en studio, je suis chez moi à lire ou à jouer aux jeux vidéo. J’aime beaucoup voyager également : je me suis promis de repartir quand mes études de théâtre seront terminées !
R.S : Merci beaucoup Amandine.
A.C : Merci à toi Reynald.
Interview d'octobre 2025
A.C : Bonjour Reynald !
R.S : Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir comédienne ? Tu te souviens du déclic ?
A.C : Je n’étais pas du tout partie pour devenir comédienne. Je sortais d’une première école de commerce et je commençais un master spécialisé dans le commerce du vin, ma passion de l’époque. Même si tout se passait très bien d’un point de vue professionnel, je ne trouvais pas de sens dans ce que je faisais et ça me rendait très malheureuse. J’ai fini par tout plaquer et j’ai quitté Bordeaux pour aller à Paris. Je voulais être artiste (mes parents ont un peu déchanté, haha...), je ne savais pas encore comment, mais j’avais besoin de changer de cap. La comédie m’a ouvert ses portes et j’y ai trouvé le sens que je cherchais depuis quelques années.
R.S : Comment s’est passée ton entrée au Conservatoire Darius Milhaud ?
A.C : Très bien ! Je sortais de l’école Claude Mathieu et je cherchais un nouvel établissement pour continuer le théâtre avec une approche différente. J’ai eu la chance d’intégrer une promo remplie de gens talentueux et passionnés. Je suis très satisfaite de l’enseignement que j’y reçois et je tiens à remercier mes professeures, Emmanuelle Wion ainsi qu’Alice Benoît Fourdinier, qui vont beaucoup me manquer à la rentrée prochaine.
R.S : Comment tu décrirais ton rapport à la scène ? Qu’est-ce que tu ressens avant d’entrer en jeu ?
A.C : Je suis quelqu’un de très stressée dans la vie, mais j’ai appris à faire avec et à transformer ça en énergie galvanisante (ou en tout cas, j’essaie). Mais ce qui prime, c’est l’excitation, dans tous les cas. Je suis toujours un peu triste avant d’entrer pour les dernières scènes : ça passe toujours tellement vite !
R.S : Tu préfères le théâtre classique ou contemporain ?
A.C : Elle est trop dure, ta question ! (rires) Mais je dirais le théâtre classique, même si je mets en scène du contemporain en ce moment...
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
A.C : Par hasard ! C’est arrivé grâce à des rencontres pendant ma première année à Paris. Je me suis retrouvée à assister en studio et à découvrir cette branche du métier, qui m’a tout de suite fascinée. On m’a ensuite donné ma chance sur de petites choses, et le reste s’est fait naturellement. J’ai parfois du mal à réaliser la chance que j’ai eue, mais en tout cas, je suis très reconnaissante.
R.S : Est-ce un défi pour toi de retrouver la justesse émotionnelle de la comédienne originale quand tu n’as que la voix pour traduire son intention ?
A.C : C’est un exercice particulier, bien sûr, mais c’est ce qui le rend passionnant. Chercher les chemins que la comédienne à l’image a empruntés pour ensuite retranscrire une émotion similaire avec ses propres intentions, ça me plaît beaucoup.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
A.C : Je suis très casanière, j’avoue... Donc quand je ne suis pas au conservatoire ou en studio, je suis chez moi à lire ou à jouer aux jeux vidéo. J’aime beaucoup voyager également : je me suis promis de repartir quand mes études de théâtre seront terminées !
R.S : Merci beaucoup Amandine.
A.C : Merci à toi Reynald.
Interview d'octobre 2025