Kelly Bellacci
Genres :
Voix Bambin garçon, Voix Enfant garçon, Voix Enfant fille, Voix Adolescent garçon, Voix Adolescent fille, Voix Jeune adulte femme, Voix Adulte femme
Tonalité :
Medium, Grave
Langues parlées :
Anglais avec accent américain, Anglais avec accent non déterminé, Espagnol
Spécificités :
Chant
Doublage
Formation
Audiovisuelles
2024 Perfectionnement doublage avec Stanislas Forlani. Titra
2024 Observation doublage avec Benoît Du Pac. Sonodi
2023 Technique de doublage, capital enseignement
2021/2022 Improvisation, compagnie du Capitaine
2020 Cursus théâtre Cours Florent Montpellier
2018 Acting face caméra Atelier de l'acteur Paris. Florence Nahon
2015 Théâtre de Troupe.Fabrik' Avignon. Joelle Richetta
Danse
2022/2024 Formation Intensive Hip-Hop. Studio MRG. Paris
2022 Heels. Studio Massaro.Laetizia Rodrigues
2020/2022 Hip-hop, DNA. Jodie. Montpellier
Masterclass
2022/2023 Apprivoiser le casting. Nouveaux Mondes
2021/2022 Improvisation théâtrale avec Julien Masdoua
2019 CastingClass Selftape. Apprivoiser le casting avec Emmanuelle Bourcy
2018 Direction d’acteurs avec Olivier Carbone
2024 Perfectionnement doublage avec Stanislas Forlani. Titra
2024 Observation doublage avec Benoît Du Pac. Sonodi
2023 Technique de doublage, capital enseignement
2021/2022 Improvisation, compagnie du Capitaine
2020 Cursus théâtre Cours Florent Montpellier
2018 Acting face caméra Atelier de l'acteur Paris. Florence Nahon
2015 Théâtre de Troupe.Fabrik' Avignon. Joelle Richetta
Danse
2022/2024 Formation Intensive Hip-Hop. Studio MRG. Paris
2022 Heels. Studio Massaro.Laetizia Rodrigues
2020/2022 Hip-hop, DNA. Jodie. Montpellier
Masterclass
2022/2023 Apprivoiser le casting. Nouveaux Mondes
2021/2022 Improvisation théâtrale avec Julien Masdoua
2019 CastingClass Selftape. Apprivoiser le casting avec Emmanuelle Bourcy
2018 Direction d’acteurs avec Olivier Carbone
Chant
Mezzo Soprano
Cinéma
2023 "Et maintenant" réalisé par Lucien Jean-Baptiste, dans le rôle de Carole, fille de Lucien Jean-Baptiste. Zamba production
2022 "Toi non plus t'as rien vu" réalisé par Béatrice Pollet, dans le rôle de la surveillante pénitentiaire. Sensito Film
2021 "En attendant un Miracle" réalisé par Thierry Binisti, dans le rôle de la bijoutière. Scarlett Production
2020 "Stillwater" réalisé par Tom McCarthy, dans le rôle de l'avocate. Production Anonymous Content
2022 "Toi non plus t'as rien vu" réalisé par Béatrice Pollet, dans le rôle de la surveillante pénitentiaire. Sensito Film
2021 "En attendant un Miracle" réalisé par Thierry Binisti, dans le rôle de la bijoutière. Scarlett Production
2020 "Stillwater" réalisé par Tom McCarthy, dans le rôle de l'avocate. Production Anonymous Content
Courts métrages
2023 "Heroes of Today-Mother" de brbr. Birth Production, dans le rôle principal de l'athlète. A obtenu le Lion de Bronze. Cannes Lions 2023, Silver de la meilleure Direction d'Acteur. Ojo Festival 2023
Danse
Hip-Hop/Heels (bon niveau)
Sports
Kick-Boxing
Télévision
2023 "Voice Ever" Céline Pérreard, Pauline Archange. Rôle principal, Sarah. France 2. Sélection Sundance Film Festival 2024 + Palm Spring Festival
2022 "Les 7 Vies de Léa" Julien Despaux, Emilie Noblet. Netflix. Production Empreinte Digitale. Rôle récurrent de Dora
2021 "Dolorès" Julien Seri. Canal+. Production Giraf Prod. Rôle de Cintia Lunimbu
2020 "Léo Matteï, Brigade des mineurs" Hervé Renoh. TF1. Production Big Band Story. Rôle de l'OPJ de Martigues
2019 "District Z" Xavier Gens. Production Satisfaction, the television agency. Rôle de la Candidate
2022 "Les 7 Vies de Léa" Julien Despaux, Emilie Noblet. Netflix. Production Empreinte Digitale. Rôle récurrent de Dora
2021 "Dolorès" Julien Seri. Canal+. Production Giraf Prod. Rôle de Cintia Lunimbu
2020 "Léo Matteï, Brigade des mineurs" Hervé Renoh. TF1. Production Big Band Story. Rôle de l'OPJ de Martigues
2019 "District Z" Xavier Gens. Production Satisfaction, the television agency. Rôle de la Candidate
Autres activités
Yoga (bon niveau)
Interview
R.S : Bonjour Kelly,
K.B : Bonjour Reynald et merci pour ton accueil.
R.S : D'où vient que tu es bilingue ?
K.B : Ma maman est anglophone et j’ai vécu à Londres pendant mes études universitaires.
R.S : A quel moment as-tu eu envie de devenir comédienne ?
K.B : J’ai 19 ans, j’apprends que la comédienne Joëlle Richetta va donner des cours à notre fac. Je fonce m’inscrire. Notre 1er exercice consistait à jouer une scène en solo en incarnant au minimum 2 personnages. J’avais choisi un sketch sur l’administration française, dans lequel je jouais 3 persos : une agente publique dépressive, pas très pro, une honnête citoyenne venue actualiser sa situation, plus trop patiente, et une journaliste reporter présentant un fait divers d’agression dans ladite "administration française" (coucou Good Monique). Ce sentiment de liberté que j’ai ressenti sur scène... C’est à ce moment que l’idée de devenir comédienne a germé (bon, et petite j’allais tous les dimanches au cinéma, mais le germe était encore dans mon inconscient !).
R.S : Qu'as-tu retenu des cours Florent à Montpellier ?
K.B : J’aborde cette expérience sous 3 angles :
- technique : le lâcher prise en travaillant des scènes extraordinaires pour nous confronter à nos peurs, nos blocages, et donc être pleinement disponible sur un plateau de tournage, le corporel en travaillant l’animalité, le texte et les différentes dimensions (rythme, sous texte..), la voix...
- psychosociologique : travailler ensemble, comme une troupe, crée un terrain de jeu d’étude comportementale qui nourrit la création de personnages.
- d’autonomie créative : adaptation et création d’une pièce, de l’écriture au choix des décors, costumes, lumières, son, distribution des rôles, etc., écriture de scénario.
Pour résumer, Florent c’est un peu comme un Bécher !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
K.B : En me formant en initial auprès de Studio Capitale Enseignement. Désormais je continue avec des stages de perfectionnement. D’ailleurs j’ai fait un stage samedi dernier, j’ai rencontré une D.A qui m’a particulièrement bouleversée. Je ne la citerais pas par pudeur. Au-delà de sa rigueur et ses compétences, quelle humanité cette femme. C’est ça aussi ce métier, des rencontres qui touchent l’âme et, vu le climat actuel, il faut s’y accrocher !
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu étais en cours ?
K.B : Pas du tout ! C’est un ami comédien évoluant également dans le doublage qui m’a fait découvrir cet univers (je ne sais pas combien de fois je l’ai remercié, c’est grâce à lui que je me suis lancée) et c’est rapidement devenu un travail passion. Il y a un terme grec qui m’émeut particulièrement : meraki, ça signifie faire quelque chose avec son âme, je ressens cette ardeur quand je suis en studio.
R.S : Y a-t-il quelque chose qui t’a semblé particulièrement difficile les premières fois ?
K.B : Beaucoup de choses ! Mais si je devais en retenir une en particulier, ça serait les niveaux. Prendre conscience de la distance entre les personnages, l’environnement, le bruit etc, et donc s’adapter en fonction de ces éléments.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.B : Je fais de la danse en école (hip hop et heels), du chant en cours particulier et j’écris.
R.S : Merci beaucoup Kelly.
K.B : Merci à toi Reynald et merci pour ton travail.
Interview d'août 2024
K.B : Bonjour Reynald et merci pour ton accueil.
R.S : D'où vient que tu es bilingue ?
K.B : Ma maman est anglophone et j’ai vécu à Londres pendant mes études universitaires.
R.S : A quel moment as-tu eu envie de devenir comédienne ?
K.B : J’ai 19 ans, j’apprends que la comédienne Joëlle Richetta va donner des cours à notre fac. Je fonce m’inscrire. Notre 1er exercice consistait à jouer une scène en solo en incarnant au minimum 2 personnages. J’avais choisi un sketch sur l’administration française, dans lequel je jouais 3 persos : une agente publique dépressive, pas très pro, une honnête citoyenne venue actualiser sa situation, plus trop patiente, et une journaliste reporter présentant un fait divers d’agression dans ladite "administration française" (coucou Good Monique). Ce sentiment de liberté que j’ai ressenti sur scène... C’est à ce moment que l’idée de devenir comédienne a germé (bon, et petite j’allais tous les dimanches au cinéma, mais le germe était encore dans mon inconscient !).
R.S : Qu'as-tu retenu des cours Florent à Montpellier ?
K.B : J’aborde cette expérience sous 3 angles :
- technique : le lâcher prise en travaillant des scènes extraordinaires pour nous confronter à nos peurs, nos blocages, et donc être pleinement disponible sur un plateau de tournage, le corporel en travaillant l’animalité, le texte et les différentes dimensions (rythme, sous texte..), la voix...
- psychosociologique : travailler ensemble, comme une troupe, crée un terrain de jeu d’étude comportementale qui nourrit la création de personnages.
- d’autonomie créative : adaptation et création d’une pièce, de l’écriture au choix des décors, costumes, lumières, son, distribution des rôles, etc., écriture de scénario.
Pour résumer, Florent c’est un peu comme un Bécher !
R.S : Comment as-tu débuté dans le doublage ?
K.B : En me formant en initial auprès de Studio Capitale Enseignement. Désormais je continue avec des stages de perfectionnement. D’ailleurs j’ai fait un stage samedi dernier, j’ai rencontré une D.A qui m’a particulièrement bouleversée. Je ne la citerais pas par pudeur. Au-delà de sa rigueur et ses compétences, quelle humanité cette femme. C’est ça aussi ce métier, des rencontres qui touchent l’âme et, vu le climat actuel, il faut s’y accrocher !
R.S : Etait-ce une discipline que tu envisageais lorsque tu étais en cours ?
K.B : Pas du tout ! C’est un ami comédien évoluant également dans le doublage qui m’a fait découvrir cet univers (je ne sais pas combien de fois je l’ai remercié, c’est grâce à lui que je me suis lancée) et c’est rapidement devenu un travail passion. Il y a un terme grec qui m’émeut particulièrement : meraki, ça signifie faire quelque chose avec son âme, je ressens cette ardeur quand je suis en studio.
R.S : Y a-t-il quelque chose qui t’a semblé particulièrement difficile les premières fois ?
K.B : Beaucoup de choses ! Mais si je devais en retenir une en particulier, ça serait les niveaux. Prendre conscience de la distance entre les personnages, l’environnement, le bruit etc, et donc s’adapter en fonction de ces éléments.
R.S : Quels sont tes loisirs ?
K.B : Je fais de la danse en école (hip hop et heels), du chant en cours particulier et j’écris.
R.S : Merci beaucoup Kelly.
K.B : Merci à toi Reynald et merci pour ton travail.
Interview d'août 2024